samedi 21 novembre 2009

Rencontre avec Naka Tatsuya Sensei

Naka Tatsuya Sensei, JKA 6e Dan , JKA Tokyo-HQ



Naka Tatsuya Sensei 6e Dan JKA - Baldacchino Salvatore 4e Dan JKA - Sawada Kazuhiro 7e DAN JKA

Romanelli Bruno 4e Dan JKA - Naka Tatsuya Sensei 6e Dan JKA - Baldacchino Salvatore 4e Dan JKA

samedi 7 novembre 2009

Interview de Kazuhiro Sawada Sensei


Interview de Sawada Sensei sur le site THE SHOTOKAN WAY
Bonne lecture !
Voici le lien, un p'tit click ici

dimanche 1 novembre 2009

Grand stage annuel du Brussels


Comme chaque année à même période aura lieu le grand stage annuel du Brussels.
Du 13 au 15 novembre 2009, complexe sportif de la VUB-ULB, boulevard du Triomphe, 1050 Bruxelles.

Vous pourrez vous entraîner sous la direction de Sawada Kazuhiro Sensei (7e Dan JKA), Gneo Sergio Sensei (7e Dan JKA), Naka Tatsuya Sensei (6e Dan JKA), Ohta Yoshinobu Sensei (6e Dan JKA), Contippelli Maurizio Sensei (6e Dan JKA), Van De Walle Alain Sensei (5eDan JKA) et Vandommele Joel Sensei (5e Dan JKA).

Toutes les infos sont disponibles sur le site www.belgiankarate.com

PS.
Je profite de cette occasion pour vous glisser une photo issue de mes archives poussiéreuses ...
Vous l'avez reconnu ...
:-)

Précepte n°6 du karate-Do

"L'esprit doit être libre"

L'important est de garder son esprit ouvert vers l'extérieur ...
Si l'on attache l'esprit tel un chat à une laisse, il perdra sa liberté de mouvement.
Utilisez l'esprit à bon escient, laissez-le explorer à sa guise, ne le laissez pas s'attacher ou pire s'enfermer dans un carcan, dans un style.
Evitez d'exercer un contrôle trop pesant sur votre mental.
Notre esprit doit courir librement.
Le sage dit que la fleur de lotus n'est pas souillée par la boue dans laquelle elle puise ses racines.
Notre regard sur le karaté ne doit pas être limité par des oeillères. Ce serait nous priver de notre liberté intérieure et nous amener très vite à nous limiter dans notre recherche personnelle.
Cela nous empêcherai tout simplement d'évoluer dans notre art.
Je vous invite à ne jamais oublier ce précepte qui est et demeure vital à chaque moment de notre cheminement martial.

A vos plumes !

Chaque acte technique que nous étudions, apprenons et exécutons exprime quelque chose. Une attaque, une défense, une contre-attaque, une projection, etc…
Les grandis maîtres ont voulu nous transmettre en quelque sorte un « langage » à travers le karaté.
Les mots y sont remplacés par des gestes, et quand certains gestes ont une même application on peut les considérer comme des synonymes.
D’autres gestes ont la même forme mais une application différente, on peut donc alors les considérer comme des homographes.
Quand on combine tout ça comme pour écrire un texte (un kata), on utilise une syntaxe spécifique. C’est une manière d’enchaîner les mots (les gestes), en tenant compte des règles d’accord (la stratégie et la tactique) ou de la ponctuation (le rythme et la respiration).
Pour traduire certains textes (kata), il faut alors apprendre à les déchiffrer (le bunkai).
Il ne s’agit pas de faire une simple traduction mot à mot, mais il faut tenir compte de l’esprit du texte (l’esprit du kata). C’est pourquoi il ne faut pas s’arrêter à un seul texte (un seul kata) mais étudier les autres textes du même auteur (par exemple Funakoshi Sensei) pour assimiler l’ensemble du vocabulaire (les techniques), de la grammaire (la stratégie), de la conjugaison (la tactique).
A chacun de nous d’approfondir le texte (le kata) en le relisant (l’exécutant) de nombreuses fois. Après une longue étude (la pratique) on peut espérer obtenir une bonne traduction (l’interprétation d’un kata ou son bunkai).
Plus la traduction s’affine, plus on s’exprimera correctement dans cette étrange langue que l’on apprendra à maîtriser et transmettre à notre tour.
A vos plumes !